Jonathan est né le 11 Mars 1994 à Agen (France), d’origine francophone et d’une racine latine. Il évolue dans le contexte modeste et pieux du Sud-ouest de la France en milieu de campagne, recevant une éducation classique, mais fort étant d’une naissance hors norme; puisque expérimentant ce que beaucoup d’entre nous ne connaîtront qu’au dernier moment sur terre, la mort physique et mentale.

 

Cette expérience lui laissa une mémoire désormais défaillante et d’un nouvel état d’esprit, car dira t-il souvent « avec pour peu de mental inférieur ».

Cherchera t-il sans relâche l’affection auprès d’êtres chers pour ne pas perdre pied, durant ses propres luttes intérieures, tel aussi que son père biologique lui laissa des écrits en être indigo canalisant en écriture automatique de la connaissance astral et de la réflexion existentielles.

 

Expérience dans le monde de la mort lui permettant sans mesure de recevoir par grâce un savoir cosmique mis sous la clef d’une mémoire cellulaire, qu’il devra tout au long de sa vie apprendre à connaître au travers d’une méditation permanente, comme en vigilance aiguisée tout au long des événements du quotidien.

Sa force d’indépendance d’esprit se tire d’ici, comme sa vaillance et celle de ses parents de côtoyer un environnement laïc avec son frère et sa sœur. Il choisit dès lors de poursuivre les études comme dit-il « positionnée sur l’observation du monde scolaire et de la vie en général ». Il prit donc sans mesure l’occasion de chaque instant à « veiller fermement » comme dit-il encore sur « la nature de la Réalité et des enseignements de l’intelligence cosmique qui descendit sur terre au travers des attitudes de chacun et du monde, pour instruire objectivement des lois de la commune nature et de l’univers ».

Il ne se réclame d’aucune école de pensée, mais tend plutôt à transmettre une lecture continuelle de l’œuvre de ses prédécesseurs.

 

En autodidacte, il apprend dès son plus jeune âge à observer le monde avec un regard nouveau sur l’Humain, au travers de ses camarades, des tuteurs scolaires, et de la vie entière et même avec son diplôme de paysagiste environnementale et écologiste. Il discerne rapidement dès sa huitième année un déficit majeur chez l’humain en sa liberté d’esprit, comme de pensée et de l’entretien du lien avec l’âme, fait comme réelles connaissances nécessaires pour l'expérience évolutive et non involutive.

 

Jonathan à donc était invité par une force intérieure déclara-t-il plus tard comme « l’Ange Aloas », à prendre note de ses observations sur des pages volantes, car était-il classifié en cours scolaire par ses professeurs comme « non conforme à la pensée éducative et collective du système scolaire ».

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À huit ans il entame donc un rôle d’auteur anonyme avec pour pseudo «Yonathan» dit-il prononcé du tréfonds de son mental, afin d’hyper simplifier le phénomène de la dépersonnalisation, et publiant un petit livre de 200 pages intitulé « Pour Toi, Rencontre avec le Sans-nom », annonçant paroles de conscience, autour du sujet commun, mais aussi de parapsychologie, psychisme et d’une spiritualité nouvelle et enfantine qu’il édita en auto-édition, une fois arrivé proches de ses 20 ans. Tout ceci en reprenant une phrase de sa 14èmes années disant : « Tous sommes libre, et chacun connaitra la vérité, mais mes écrits d'enfances détermines si le lecteur comme fait disciple sera suffisamment mature en vertus, pour recevoir comme cadeau, un jour, l'enseignements du Christ en moi, dont je prend note en disciplina, car qui libérera pour toujours l'âme de celui qui me suit. Si je me dirige vers ma guérison du grand mensonge Cosmique, vous pouvez aussi venir avec moi, car nous sommes en Un, comme nos Pères, je le sais. »

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Au cours de ses recherches en divers domaines professionnels, il découvrit la Conscience inadhérente à l’intellect comme à la personnalité, son sens mental et moral. Rencontrant divers clairvoyants, magnétiseuses et êtres agissants avec la force de vie, il comprit par devoir à se pencher plus sérieusement sur les mystères du Soi, de l’âme, de l’Univers, comme de Dieu. De témoigner d’un souffle libre, en discussions privées comme à l’écrit, naissantes et canalisaient également en une forme de source mentale profonde, tout en demeurant en éveil de conscience, allié à un Esprit de savoir et d’informations infuses cosmiques.

Après une initiation aux mystères et Soins Esséniens, un marquant phénomène mystique le renversa en lui-même, revivant un vie antérieur auprès du Maître Yeshouah « Jésus », pendant de nombreux mois chaque nuit où tout son être fus ré-encodé et brisé, afin qu’il exprime encore plus librement sans mesure sa fonction céleste, qu'est le vœu de l'âme et non les désirs de l'être.

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« La philosophie et la poésie véritable, sont égales à une façons de voir le monde silencieusement dans la centralité du mental, de l’âme et du monde psychique, pour à ne point s’en vendre » dit-il ; ils seraient les pans nécessaire pour une ascension à la Conscience et ce qui est traduit comme l’Éveil spirituel.

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Annonce t-il rapidement : « qu’un Éveil est véritable et complet qu’en mesure de sa propre renaissance permanente en ce phénomène avènementiel, pour ainsi dire que seul un Éveillé peut reconnaître un Éveillé, tout à fait de même l’éveil en lui-même, car il ne jurera plus, mais aura pour faculté de jaugé. Point pouvons-nous être celui rigidifiant cela à un mécanismes de vie, d’après des pratiques d’usages ».

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Il s’ensuit que Yonathan eut reçu de l’Enseignements Céleste pour dire avec simplicité sur son propre chemin évolutif, du Christ, de l’ange et de l’âme qu’il le rendront établit avec pour prénom de « Yöhana’ël », qu’il adoptera dès lors pour ses conférences, les rencontres, ses textes et lectures publiques sur les réseaux sociaux comme en privé, au cours d’un partage éloquent et fulgurant du Verbe.

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Vue avec une douce folie, bien que rarement compris, et quant bien même très convainquant de son charisme, Yo éprouve une affection véritable pour tout public, comme toutes créatures, sensibles à leurs souffrances et combats. Yo se tient avec une stabilité aiguisée, ne pouvant que rendre ou répandre qu’informations selon le seuil de chacun d’après lui. En raison de ceci, il choisira d’être un « Anonyme » fier de l’être, car « parmi le mortel et davantage numineux est celui qui œuvre dans le noir », ne ce précipitant pas au mouvement introduisant une sorte de tourisme spirituel, ni à être invité pour quelconques démonstrations.

Annoncera-t-il à sa compagne aussi dans la vocation et aux dons mystiques installée comme magnétiseuse et le cœur ouvert sur le royaume animal :

« Nous n’en sommes plus aux maîtres et élèves, nous avons déjà reçu l’arrivée de Melchisédech, comme d’âmes pures sur terre, il n'est pas si longtemps, mais l’homme ancien n'a ni reconnus, ni entendue, ni n’a profité de leurs messages, et encore faut-il s’interroger sur la nature de sources singulières et impersonnelles à laquelle nous pouvons attribuer la somme de toute œuvre nécessaire à l’évolution de l’être. »

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Écrivant et témoignant de ses écrits librement, et tel qu’il l’entend, Yo fit part de ne pas forcément souhaiter rendre publique son œuvre maintenant assez conséquente auprès de l’édition, car n’a-t-il point pour vœux de faire parti d’une bibliothèque désacralisée, ni d’être lu prématurément par des êtres qui ne sont qu’encore à l’ébauche de la sagesse et de leurs vertus transcendantales.

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Annonce t'il : « Ce qui peut être plausiblement important, n’est point ce que je sais, mais ce que je fais de ce que je sais, et je préfère faire de petits, discrets, mais radieux actes, comme Dieu. »